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Les conseils pour réussir en prépa B/L : Interview de Thomas Tiberghien, étudiant à NEOMA !

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Dans le paysage des écoles de commerce, NEOMA se distingue pour l’attention qu’elle porte aux étudiants littéraires. Parmi les atouts de l’école : mise à niveau en matières quantitatives, soutien entre pairs, cours d’humanités, de nombreuses associations littéraires et culturelles, un MSc Cultural & Creative industries reconnu…  Alors comment s’ouvrir les portes de NEOMA au moment de passer les épreuves de la BEL ?

Eléments de réponse avec Thomas Tiberghien, étudiant en année de Master 1 du Programme Grande Ecole, après une CPGE B/L au lycée Claude Monet.

 

Bonjour Thomas, peux-tu présenter ton parcours ?

Bonjour, je m’appelle Thomas et j’ai 22 ans. Je suis originaire de Montreuil (93) où j’ai effectué tout mon lycée jusqu’à l’obtention du bac L mention très bien au lycée Jean Jaurès en 2020.

J’ai ensuite intégré la classe prépa littéraire du lycée Claude Monet à Paris en option littérature.

Depuis l’année dernière, j’ai rejoint le Programme Grande École de NEOMA sur le campus de Reims.

Lire plus : Khâgne : les atouts des littéraires en école de commerce

Pourquoi avoir fait une classe préparatoire littéraire ?

J’ai fait une classe préparatoire littéraire après un bac L parce que j’adorais la littérature et que je voulais me tourner vers des études de journalisme. C’était aussi un moyen de continuer dans les études littéraires que j’appréciais beaucoup.

 

Comment se sont passées tes deux années de CPGE ?

Mes deux années en CPGE se sont bien passées. C’était dur évidemment mais bien entouré, j’ai su aller jusqu’au bout et intégrer NEOMA.

 

Quelles étaient tes notes durant la prépa ?

Je n’étais pas le meilleur élève je l’avoue. Mes notes tournaient autour de 10 ce qui faisait de moi un élève dans la moyenne. Mais les épreuves se sont très bien passées, j’ai eu de meilleures notes qu’en classe. J’ai su me dépasser le jour J pour atteindre 14 à certaines épreuves. 

 

Comment as-tu préparé les épreuves écrites de la BEL ?

J’ai préparé mes épreuves de la BEL en révisant mes cours par cœur et en fichant les différents livres conseillés. J’ai aussi travaillé sur des thématiques liées à la culture à côté pour avoir des références variées.

Quelles sont les ultimes révisions à faire à quelques jours des concours de la BEL ?

Avant la BEL je dirais qu’il ne sert à rien d’essayer d’avoir de nouvelles connaissances et des références que vous ne maitrisez pas.

En revanche, vous pouvez revoir celles que vous connaissez, pour être sûr de les maitriser.

Quels sont les conseils que tu donnerais aux étudiants dans les matières ?

En philosophie, je vous conseille de mettre de votre propre pensée. Pour le français, je vous recommande de bien connaitre les œuvres et d’avoir une bonne culture littéraire. En géographie et histoire, il faut être méthodique et précis. Enfin, pour les langues, un entraînement intensif sur chaque épreuve et une bonne révision de la grammaire sont nécessaires pour réussir au concours.

 

Pour les oraux, comment t’es-tu organisé pour le tour de France ?

J’étais admissible dans une dizaine d’écoles et j’ai décidé de toutes les tenter. Etant originaire de Paris, j’ai d’abord fait les écoles les plus éloignées avant de passer les oraux dans celles plus proches de Paris. En ce qui concerne le classement, j’avais d’abord commencé à m’entrainer aux oraux des écoles qui m’intéressaient moins pour me faire la main avant de passer celles que je voulais vraiment.

 

Après les oraux, tu décides d’intégrer NEOMA. Pourquoi avoir ce choix ?

C’est l’école qui m’a le plus marqué pendant mon tour de France. Je voulais continuer l’art et c’était l’école qui allait me le permettre. En effet, de nombreuses associations se dédient à l’art, comme par exemple Dionysis (théâtre classique) ou In’Motion (danse). Je sentais la passion et j’avais envie de tout donner.

 

Rétrospectivement, pourquoi avoir choisi de faire une école de commerce après la prépa littéraire ?

C’était l’option qui ouvrait le plus de portes. Je savais que j’avais envie de faire des études axées autour de l’art et de l’international. La fac après la prépa m’attirait moins et j’avais envie de découvrir plus de choses.

 

Comment s’est passée ta rentrée à NEOMA et la transition Prépa – École ?

Très bien ! Je me suis vite fait des amis, je me suis bien intégré dans l’école et, en ce qui concerne les cours, j’avais des cours de soutien en mathématiques qui m’ont aidé dans les matières plus quantitatives.

 

Qu’as-tu fait depuis ton intégration NEOMA (projet, association…) ? 

En tant que bon littéraire qui voulait poursuivre l’art et le théâtre, j’ai fait soliste dans la comédie musicale de l’école et j’ai fait toutes les assos de théâtre de NEOMA. En deuxième année, j’ai eu la chance d’intégrer deux associations de NEOMA en tant que responsable Solistes au sein de la Comédie Musicale, et de co-responsable Inreimsibles, l’association de théâtre d’improvisation. J’ai ainsi pu participer vivement à l’organisation de la vie artistique dans l’école. Je me suis beaucoup investi et je ne regrette rien c’était une superbe expérience.

Le mot de la fin pour les prépas littéraires qui veulent intégrer une école de commerce

Allez-y et n’ayez pas peur. Vous serez bien intégré et vous n’allez pas regretter. Je m’épanouis à NEOMA et c’est vraiment un bon endroit pour les profils littéraires qui ne veulent pas se fermer de portes et découvrir de nouveaux horizons tout en poursuivant leurs passions

 

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Maxime Diguet