Alors que les khôlles sont bien souvent source de stress pour les étudiants, on vous donne tous nos conseils dans cet article pour les aborder sereinement : anticipation, entraînements, maîtrise du cours et de la méthodologie, on vous dit tout pour impressionner votre jury !
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S’y prendre à l’avance
La règle d’or reste bien entendu d’anticiper un maximum votre khôlle afin de vous préparer au mieux. Qu’il s’agisse d’une khôlle en histoire, en géographie, en français ou encore en philosophie, le schéma de préparation reste le même : vous devez reprendre aussi bien vos cours que la méthodologie de cet exercice très formalisé, ce qui demande un temps de préparation conséquent. Autrement dit, anticiper sa khôlle au moins une semaine à l’avance n’est pas de trop : cela vous permettra de vous mettre à jour sur les différents sujets et de vous préparer sereinement, tout en jonglant avec vos autres impératifs de la semaine !
S’entraîner sur les sujets déjà tombés
Une manière efficace de vous entraîner aux khôlles dans les différentes matières est de demander aux autres étudiants de votre classe de vous donner les sujets de khôlle sur lesquels ils sont déjà tombés : il ne s’agit pas tant de compter sur la chance de tomber sur le même libellé que d’avoir une idée de ce à quoi les sujets de khôlles peuvent ressembler. N’hésitez pas à jouer le jeu jusqu’au bout : entraînez-vous sur quelques sujets en temps limité, de la préparation à la restitution orale. Si vous ressentez le besoin d’avoir un avis extérieur sur votre performance, vous pouvez également vous entraîner en groupe avec quelques camarades de confiance.
Connaître son cours…
Pour préparer au mieux votre khôlle, il va de soi que vous devez avant tout commencer par connaître votre cours. Si cette étape peut sembler laborieuse, c’est pourtant ce qui va vous donner de la matière et du contenu pour traiter votre sujet de khôlle au mieux. Par ailleurs, cela vous fera gagner du temps sur le prochain devoir écrit, puisque vous connaîtrez déjà votre cours. Attention toutefois à anticiper suffisamment votre apprentissage : certaines disciplines, comme l’histoire notamment, ont un contenu extrêmement dense qui demande un certain temps pour se l’approprier.
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…Sans tomber dans le par cœur
Il importe toutefois de nuancer le point précédent : s’il est certes primordial de maîtriser son cours, il ne s’agit pas tant de l’apprendre par cœur que d’être capable de le comprendre et de réfléchir sur ses différents enjeux. En effet, chaque sujet de khôlle est unique et demandera de votre part un esprit critique ainsi qu’une capacité à raisonner sur ce sujet en question. Autrement dit, il est totalement proscrit de ressortir son cours mot pour mot ! C’est ce qui fait toute la difficulté de l’exercice, alors mieux vaut s’entraîner !
Maîtriser la méthodologie sur le bout des doigts
S’il y a quelque chose que vous devez maîtriser sur le bout des doigts, c’est bien plutôt la méthodologie de l’exercice de la khôlle : temps de préparation, analyse du sujet, étapes et temps de restitution, autant de règles et de codes qu’il importe de parfaitement maîtriser. Sachant que les règles varient de la khâgne classique à la khâgne moderne et d’une discipline à une autre, renseignez-vous bien sur la méthodologie à l’avance de sorte à respecter les attendus formels de l’exercice. Si vous n’avez certes pas la garantie d’avoir le meilleur contenu lors de votre oral, vous avez toutefois la main sur la forme, qu’il vous suffit d’appliquer à la lettre.
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