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Les références incontournables sur la mondialisation

Sommaire

 

Thème du forum de Davos 2019: Moraliser la mondialisation « concevoir une nouvelle architecture mondiale ». 

 

Joseph Sitglitz:  démissionne en 2000 de la BIRD à cause d’une mauvaise gouvernance du FMI et de la BIRD lors de la crise asiatique = faire évoluer le capitalisme mondial = contre le «consensus de Washington » = icône du mouvement anti-mondialisation.

 

Williamson : « cycles migratoires »

 

Jean Louis Guigou : « quartiers d’orange » = blocs de systèmes indus, com et financiers intégrés Nord-Sud.

 

Joseph Nye : Hard Power et Soft Power

 

Charles-Albert Michalet : la mondialisation est avant tout une globalisation financière.

 

Henri Bourguinat :  « mouvement des trois D » de la globalisaiton financière :

  • Déréglementation 
  • Décloisonnement : marché unique de l’argent
  • Désintermédiation 

Morgenthau : les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée.

 

Bertrand Badie : Monde post-westphalien: avec de nouveaux acteurs sur la scène internationale le rôle des états est plus faible par rapport à la configuration des relations internationales du XXe siècle.   

 

Pierre Salama : les termes de l’émergence : ce qui fait l’émergence c’est la capacité à se diversifier surtout dans l’industrie.

 

Tournant de Lewis : quand la main œuvre disponible cesse d’être virtuellement infinie. C’est une maturité de croissance qui montre le passage d’émergent à émergé. Point de Lewis = chute de rentabilité des industries, augmentation des salaires et diminution de la croissance = passe des exportations à la consommation intérieure.

 

Dividende démographique : Convertir la croissance de la population en croissance de l’épargne en investissant plus dans les actions à forte main œuvre = donc augmentation des salaires =  augmentation de l’épargne.

 

J O’Neil : invente terme des BRICS en 2001.

 

Jean-Joseph Boillot : Chindiafrique, La Chine, l’Inde et l’Afrique feront le monde de demain
Chine, Inde, Afrique – vont renforcer leurs complémentarités et former un nouveau triangle de développement.

 

Hubert Védrine, Le Monde au défi = « perte du monopole occidental sur la conduite des affaires du monde ».

 

Christophe Jaffelot = « l’avenir appartient aux BRICS »

 

Bertrand Badie dans L’Impuissance de la Puissance : « la puissance n’est plus ce qu’elle était parce que la fin de la bipolarité, la prolifération de formes nouvelles de violence ont eu raison des certitudes de naguère ». S’impose peu à peu une apolarité.

 

Fukuyama, La fin de l’histoire et le dernier homme : Fin GF marque la victoire de la démocratie libérale et de l’économie de marché. Mais si la croissance de la Chine continue Fukuyama admet que sa thèse est réfutée.

S.Lavrov annonçait « un ordre mondial post-occidental» en 2017.

David Ricardo : La convergence des économies : à terme les pays riches à la croissance ralentie sont rattrapés par les pays qui émergent. Donc à terme les inégalités mondiales de PIB devraient disparaitre.

 

Thomas Friedman, The World is Flat : Le monde est devenu plat. Sans frontières commerciales ni politiques, sous le double effet de la globalisation et de la révolution numérique. Le centre de gravité du monde s’est déplacé vers les start-up et les entrepreneurs conquérants de l’Asie.

 

Michel Foucher : Livre « L’Obsession des Frontières » : Alors qu’on ne cesse de chanter la disparition des frontières, il faut bien constater la permanence de celles-ci et surtout leur solidification. En clair, la mondialisation s’accompagne d’une intensification des limites, et même du durcissement des moyens.

 

André Litzellman, Questions Internationales « La puissance et la mer » : Les espaces maritimes peuvent être considérés comme les « sources, enjeux et les arènes de la puissance »

 

Sir Raleigh : « Qui tient la mer tient le commerce du monde ».

 

Fernand Braudel, Economie Monde : Une économie-monde est un morceau de la planète économiquement autonome, qui se suffit à lui-même et qui exerce une influence sur des périphéries. On peut définir la mondialisation contemporaine comme la formation d’une seule économie-monde à l’échelle du monde.

 

Immanuel Wallerstein : le « système monde » : Wallerstein rejette la notion de « Tiers-Monde » et affirme qu’il n’existait qu’un seul monde connecté par un réseau complexe de relations d’échanges économiques. Mais division du monde en centre (OCDE) et périphérie (Suds). Le cœur a un haut niveau de développement technique, le rôle de la périphérie se limite à celui d’apporter les matières premières, des produits agricoles et de la main-d’œuvre bon marché aux acteurs en croissance du centre.

 

Ohmae : terme de Triade

 

Olivier Dollfus :Archipel mégalopolitain mondial : AMM

 

Roger Brunet, notion « d’antimonde » = flux illégaux

 

El Mouhoub Mouhoud : « phase de post-mondialisation ». Tout en ayant favorisé l’émergence de nouveaux pays dans la croissance mondiale la mondialisation a engendré un monde de plus en plus fragmenté. La hausse des coûts de transport et la montée des coûts salariaux unitaires dans les pays émergents + diffusion de l’automatisation et de la robotisation dans l’industrie = relocalisation.

Gomart, L’affolement du monde : « impression de perte de contrôle, d’emballement voire d’affolement du système international. 

 

Lire plus: Références mondialisation 

 

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Alisa TCHEGODAEVA
Etudiante à HEC Paris après 2 ans de classe préparatoire ECS au lycée Hoche, j'ai à coeur de vous partager mon retour d'expérience et vous aider à bien vivre votre prépa.