Anglais ELVI LV1 2020 – Analyse du Sujet
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Découvre sans plus attendre l’analyse du sujet d’Anglais ELVI LV1, épreuve très importante pour l’ensemble des candidats de la filière commerciale !
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La difficulté du sujet de cette année était modérée puisque même si les traductions ont été considérées par la majorité des candidats comme étant difficiles, les sujets d’expression et compréhension écrites étaient bien plus abordables (notamment si l’on se réfère au sujet de l’an passé).
Rappelons que pour cette épreuve les traductions valent 40% de la note finale (20% thème et 20% version), la compréhension écrite 30% et l’expression 30% également.
Ainsi l’élément central et à ne surtout pas négliger est bien l’expression écrite valant pour presque deux tiers de la note finale.
THEME
Le thème était un dialogue entre M.Péricourt et Henri, écrit par Pierre Lemaitre. Le registre était très soutenu et les difficultés linguistiques (vocabulaires et grammaticales) n’en étaient pas moins nombreuses. Mais encore une fois comme on vous le rappelle constamment, le travail régulier et assidu d’annales vous met bien dans le bain puisque beaucoup d’expressions, tournures ou mots de vocabulaire reviennent tels que : pièce, bureau, craindre, porte, demander, très proche, « de quoi s’agit-il », relever la tête, adorer, baisser les yeux etc.
Mais des termes assez peu fréquents ont dû poser problèmes à bon nombre de candidats à l’image de trôner, sous-main, babiole, céder, délectable ou enterrer par exemple. Ces termes pouvaient facilement être traduits par des synonymes permettant de minimiser la perte de points tout en assurant le coup, on pouvait ainsi opter pour assoir au lieu de trôner, objet pour babiole ou encore laisser pour céder etc.
VERSION
L’extrait de Kate Atkinson était plus difficile que le thème étant donné qu’il y avait plus de termes complexes et inconnus pouvant découler sur des contre-sens voire des barbarismes, durement sanctionnés. C’est pourquoi il est important de lire en amont le texte afin d’en saisir la difficulté, le registre et surtout le sens ! Comme pour le thème, beaucoup de termes reviennent d’une année sur l’autre mais des nouveaux apparaissent également tels que pace, glove, flow, awkwardly, tip, tribly, portly, bland, owlish, tortoiseshell, stride, talcum, dandruff, gabardine. Il fallait faire très attention à ne pas mal interpréter ou confondre quelques un de ces mots, ce qui pourrait changer partiellement voire totalement le sens de votre traduction.
EXPRESSION 1
Le texte était totalement d’actualité et aucune difficulté majeure n’était présente, le sujet était assez clair et pouvait difficilement être incompris. Toutefois, il fallait arriver à bien se distinguer en saisissant des passages clés du texte pour montrer au correcteur que vous vous êtes efforcés d’avoir de l’analyser en précision.
EXPRESSION 2
Encore une fois aucune difficulté majeure n’est à relever dans la formulation de cette question pour le moins intéressante et totalement d’actualité. En effet, qui de mieux que les enfants ou jeunes adultes pour penser le monde qu’ils auront demain ? Comme beaucoup d’économistes l’ont montré (notamment ceux du Public Choice) les politiques pensent plus à leur réélection et à des intérêts particuliers, là où les jeunes adultes n’ont pas de contraintes extérieures. Il fallait toutefois avoir des exemples d’initiatives ou d’actions de jeunes individus pour ne pas faire que citer Greta Thunberg qui, qui plus est, est déjà citer dans le texte.
La difficulté de cette seconde question se trouvait dans sa proximité avec la première. Il fallait bien arriver à se détacher du texte sans tomber dans une récitation tout en apportant votre propre avis sur la question posée.
