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Comment aborder le mois de janvier en classe préparatoire ECG ?

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Le mois de janvier est à peine terminé et pourtant, il a pu paraitre très long, voir interminable, et les vacances de noël paraissent déjà bien lointaines. Il est important de se refocaliser sur les cours et la classe préparatoire.

 

Le retour est parfois difficile

Les cours ont repris tranquillement, et la charge de travail a largement augmenté. Pendant les vacances, même si le travail n’a pas été forcément optimal, le repos, lui, a pu être bénéfique. L’énergie mise à disposition par les vacances doit être préservée, surtout en cette fin de mois de janvier.  

Les autres personnes de la classe ne sont pas beaucoup plus motivées et il est important se soutenir dans la prépa. C’est l’occasion de créer une belle cohésion de groupe.

En effet, il s’agit parfois d’une période difficile pour tout le monde. Pour les deuxièmes années, les concours approchent, les inscriptions sont faîtes et le travail à effectuer devient plus concret. Pourtant, les concours sont encore lointains et il peut paraitre décourageant de voir que tant de travail reste encore à accomplir d’ici là.

C’est alors l’occasion de se remotiver, éventuellement de mettre en place un planning de travail, et d’envisager les derniers mois restant avant le concours de façon à rendre plus concret encore le travail restant.

Pour les premières années, la période peut être longue aussi. Le froid et les journées courtes n’arrangent rien. La encore, il faut trouver la motivation nécessaire pour rester concentré, et perdre le moins de temps possible, afin d’éventuellement prendre de l’avance sur les autres classes préparatoires.

 

Lire plus : Garder la motivation pendant la période hivernale

 

 

C’est l’occasion de faire la différence

De plus, les autres étudiants, dans d’autres classes préparatoires, ne seront pas plus motivés pour ce mois difficile. Or, on sait que la prépa se joue sur le mental, et que la préparation au concours se fait, elle aussi, grâce à la détermination et à la motivation.

Alors que les autres préparationnaires de France ont une motivation descendante, c’est l’occasion de faire la différence en travaillant encore plus. En effet, la motivation se joue aussi sur la comparaison aux autres. Il est parfois plus motivant de voir que l’on prend de l’avance. On entre alors dans un cercle vertueux qui va nous pousser à travailler encore davantage, et ainsi prendre une avance considérable avant les concours.

 

Voir le positif

Le positif en cette fin du mois de janvier annonce aussi un peu plus l’approche du concours. Plutôt que d’y voir un stress, il faut y voir une délivrance, une concrétisation, ainsi que le début d’une belle expérience, celle de la période de révisions, qui arrive à grands pas.

Même s’il s’agit en effet d’une période de travail intense, elle permettra de se mettre à jour sur les points vus pendant l’année, et aussi de poser toutes les questions nécessaires aux professeurs qui, ayant terminé leur programme, seront parfaitement disponibles pour répondre à toutes les interrogations que se posent les étudiants. Il sera alors temps de se replonger sur tous les points qui ont pu être sombres pendant les deux années et de se rassurer sur ceux qui sont maitrisés. Cette période est très différente des deux années de prépa, même si l’on est encore en classe, dans le même environnement de travail.

Cette période est attrayante, mais avant d’y arriver il reste encore un peu de temps. Ainsi, pour arriver serein aux révisions, il faut se préparer au mieux et bien travailler les chapitres actuels. En effet, les chapitres vus au début de l’année seront plus anciens, et on s’en rappellera moins que les chapitres récents. Pour éviter de perdre du temps au moment des révisions, il vaut mieux que les chapitres récents soient maitrisés, pour ainsi passer plus de temps sur les chapitres anciens qui nécessiteront une attention particulière.

 

Accepter que l’on ait des points faibles et des points forts.

A cette période de l’année, on peut se rendre compte de ses atouts et de ses points à améliorer. Il faut ainsi établir une stratégie, pour renforcer ses lacunes tout en maintenant un bon niveau dans les matières ou l’on a déjà des facilités. En analysant les coefficients, il est utile de favoriser sa matière forte, si elle représente un fort coefficient, car c’est celle qui permettra de faire la différence au concours. C’est cette période exactement qui est propice à trouver cette matière forte.

En revanche, il ne faut pas travailler seulement cette matière, et surtout si elle ne représente pas un coefficient très important au concours. Il faut aussi améliorer ses points faibles, et les travailler en profondeur, en reprenant peut etre les bases afin de rattraper son retard pour combler ses lacunes.

 

Lire plus : Rattraper son retard lorsqu’on est mauvais en langue

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Constance Mear