Sujet :
“Il y a lyrisme dès qu’il y a circulation. Rien de plus lyrique que le sang. D’où, peut-être, y a-t-il un lyrisme par homme. Un battement de coeur particulier qui sonne l’heure d’un discours ininterrompu, puisque discontinu.”
(George Perros, Papiers collés III, Gallimard, “Le Chemin”, 1978, p.18)
Vous discuterez de cette analyse en vous reférant en particulier aux oeuvres au programme.